Je n'aurais jamais vu les effets pervers des faiblesses engendrées par une éducation à la justification systématique de soi, de son identité, de son appartenance à un territoire limité; au nom du respect des droits de l'homme mais pas de sa dignité, ni de son intimité.
Je n'aurais jamais su à quel point la société des hommes s'abuse d'elle-même pour que chacun s'abuse lui-même pour abuser l'autre dans des rôles sans perspective d'avenir.
Dans le malheur social en France, il y a l'assurance... l'opportunité étatique, d'être traité comme un malade, un patient se soumettant lui-même à toutes sortes de traitements pour vivre pleinement sa vie de cobaye social à réinsérer. Sauf qu'une société qui ne produit plus que des humains, des protocoles et des lois pour contourner leurs droits choisit d'en faire d'une part des demandeurs d'aides et de l'autre des donneurs de leçons.
Sans l'exploitation économique du malheur social, je n'aurais jamais ressenti la grande culpabilité d'être en vie alors que je suis victime, je n'aurais jamais compris comment la société ancre sa population dans une empathie illégitime et inconsciente qui appauvrit psychiquement la conscience de tous par l'observance de protocoles sans foi ou sans effet bonifiant l'humain.
Les pratiques sociales dépourvues de conscience humaine, affectent le coeur des Hommes et donc les caisses d'assurances sociales (MDPH, CAF, Sécurité Sociale...) par l'absence d'éthique dans l'écriture et l'application des contrats privés mais obligatoires qui nous lient les uns aux autres. Relations commercialisant les faiblesses physiques et mentales d'une population inconsciemment antipathique à l'encontre d'une autre, d'une population azimutée au point de rire du malheur des autres publiquement et internationalement en dépit du sens humain, du respect d'autrui par le respect de soi, du respect de sa propre espèce, du respect de la sensibilité humaine, en dépit de ce qui fonde une civilisation : les rapports humains.
Les pratiques sociales dépourvues de conscience humaine, affectent le coeur des Hommes et donc les caisses d'assurances sociales (MDPH, CAF, Sécurité Sociale...) par l'absence d'éthique dans l'écriture et l'application des contrats privés mais obligatoires qui nous lient les uns aux autres. Relations commercialisant les faiblesses physiques et mentales d'une population inconsciemment antipathique à l'encontre d'une autre, d'une population azimutée au point de rire du malheur des autres publiquement et internationalement en dépit du sens humain, du respect d'autrui par le respect de soi, du respect de sa propre espèce, du respect de la sensibilité humaine, en dépit de ce qui fonde une civilisation : les rapports humains.
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